A survey was conducted in 2003 among Korean-English interpreters residing in Korea to study their views regarding interpreting into B — something that is considered the norm in some countries, while almost taboo in other countries. Following the first survey, a second similar survey was conducted among AIIC members across the world. This compares the two surveys in an attempt to determine whether the sentiment about interpreting into B is different among interpreters — regardless of their language combination — or whether it is relatively the same.Une enquête a été réalisée en 2003 au près des interprètes coréen-anglais résidant en Corée. Il s’agissait de savoir ce que ces professionnels pensent de l’interprétation en langue B, activité bien répandue et acceptée dans certains pays, un taboo dans d’autres. Une autre enquête similaire a été réalisée auprès d’interprètes de conférence membres de l’AIIC. Dans cet article, nous tentons de comparer les résultats de ces deux enquêtes afin de voir si les interprètes partagent les mêmes opinions vis-à-vis de l’interprètation en B ou si leur points de vue se divergent sur ce sujet épineux.
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Lim, H.-O. (2009). Working into the B Language: The Condoned Taboo? Meta, 50(4). https://doi.org/10.7202/019870ar
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