Cet article traite de l’importance généralement minorée du roman d’horreur dans la réflexion sur la notion de lieu au sein de la pensée écocritique. Il observe la façon dont trois écrivains importants du roman d’horreur : Poe, Lovecraft, et VanderMeer, jouent avec notre compréhension de la notion du lieu tout en l’approfondissant. Contrairement à la plupart des éco-critiques, qui ne voient dans le roman d’horreur que des rapports très superficiels avec l’environnement, ou plutôt une tendance à la fiction pure, je soutiens que le roman d’horreur est, d’une certaine manière, beaucoup plus réaliste que d’autres formes de récits et, que partant, il mérite plus d’attention que ne lui en ont accordé les éco-critiques jusqu’à présent.
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Tabas, B. (2015). Dark Places : Ecology, Place, and the Metaphysics of Horror Fiction. Miranda, (11). https://doi.org/10.4000/miranda.7012
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