Résumé L’œuvre de Maria Torok se confond pour une part avec celle de Nicolas Abraham. On leur doit la théorie des clivages du Moi, avec les concepts d’inclusion et de crypte, et celle des influences entre générations liées aux traumatismes non surmontés des ascendants, qu’ils ont théorisées sous le nom de « fantômes ». Mais cette œuvre contient aussi un volet personnel autour de la pédagogie, de la place du fantasme dans la vie psychique, de la sexualité féminine et, surtout, des fantômes de la psychanalyse.
CITATION STYLE
Tisseron, S. (2006). Maria Torok, les fantômes de l’inconscient. Le Coq-Héron, n o 186(3), 27–33. https://doi.org/10.3917/cohe.186.0027
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