Résumé La notion de souveraineté renvoie généralement dans la tradition rousseauiste à la souveraineté du corps politique et non à celle des individus comme c’est le cas dans les théories du droit naturel. Rousseau, pourtant, ne cède jamais à la tentation holiste. L’individu, et sa protection, reste au fondement de son système. L’objet de cet article est de questionner le concept d’autonomie morale, en particulier dans sa relation à l’autorité, et de mettre en exergue les effets positifs, notamment en terme de rationalité, de la loi.
CITATION STYLE
Salvat, C. (2007). Autonomie morale et autorité ou la question de la volonté chez Rousseau. Cahiers d’économie Politique, n° 53(2), 73–90. https://doi.org/10.3917/cep.053.0073
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