Putting Isotopes to Work: Liquid Scintillation Counters, 1950–1970

  • Rheinberger H
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LSC ; une première partie sur la maîtrise de la phénoménologie puis surtout centré sur l'histoire de Packard avec 2 point intéressants à souligner, cf. Ci-dessous) 1- finalement centre vraiment sur la conception de l'espace d'effectivité (la conception d'un SD associé, dans nos termes) (en particulier : identification des espaces où plus performante que autres techno (cf. p156 : excellent sensitivity for very weak decay electrons, high precision, high absolute efficiency, relative ease of sample preparation) ; travail sur l'architecture (deux phtomultipliers avec chacun une fonction (pulse height et coincidence monitoring p158) ; automatisation (à la fois plus rapide mais aussi nouveaux types d'expériences : expériences sur la cinétique de réaction pour les binding studies avec mesures fréquentes sur combined different types of assays, avec duplication voir triplication de l'expérience; extension à la bio et méd : large nb of samples, high sensitivity, wide capability as to variations in sample size ; accomodation of wide variations in nature and composition of he sample ; dependable operation with a minimum of services (p160) + reduce the cance of accidental loss, low doses of radioactivity; Effet sur le business : 700 app vendus entre 1954 (1er appareil) et 1961; et aussi diffusion in littérature : 1959 : 1/10 expériences menées avec 14C ou 3H sont avec LSC et app variés ; en 1963 : 1/3 des expériences en LSC dont 80% avec Packard LSC ! ; fini 60s 100% MAIS même plus mentionné dans la partie méthod des papiers ! En parallèle in 60s la compétition s'installe (en SD : system logic innovation et user friendliness) ; En 1966 : envron 1000unités / an. 2- On devine des stratégies de relations avec les labos (ex : le premier proto pour un labo ; le comparatif techno et "optimizaton" fait par Davidson du presbyterain hospital ; l'automatisation à la demande de labo en pointe et aussi orga : rôe d "reporter" : both salesperson and service and repair personnel in one pas seulement des rep car permet ici d'avoir qqun qui "give the best installation, the instructions and the theory of operation and all the necessary support" (ce sont des engineers ou des scientists with PhD [comme Schlumberger]) (p. 164) ; relation avec les labos où "people were struggling with their idiosyncratic experimental pbs and trying to exploit the machines for their special purposes" pour ensuite "refinement of sample preparation, including new recipes for scintillaton cocktails". anecdote qui mtq Packard organise le processus : en 58-59, P constate que ses appareils sont achectés par "inexperienced customers from generously distributed fed res money" et qu'ils sont "standing around in hospitals either unused or at best generating unimpressive data. P managed to ""persuade the Atomic Energy Commission to set up an award sufficient to place Tri-Carb in 20 reputable lab where pbs could be uncovered and applications developped that would increase the uselflness of the Tri-Carb for other hesitant scientists"" (p. 165) conclusion de l'auteur : "what made LSC really work and finally take over was the result of a techno-epistemic conjunction of heterogneous factors of different origines : a physico-chemical principle (liquid scintillation) of a potentially generic use in bioassay; photoelectronic industry riven by weapons production and mass communication ; the pervasie use of weak beta-emitters with all the intricacies throughout the biomedical complex in the aftermath of atomic fission ; and mechanicla automation effectively matching users'demand" [un peu limitatif : ce sont des "conditions externes" : MAIS il y a aussi des conditions internes : l'organisation de Packard ? Et du coup certaines de ces conditions "externes" peuvent apparaître c des conséquences des conditions internes : capacité à identifier des espaces techniques ou scientifiques favorables, par ex voir la maturité de l'automatique ? sinon peut-être une autre voie aurait été choisie ?] Rq sur les débuts de Packard : il s'occupe de "moyens communs" ! il est ingé au Institut of Radiobiology and Biophysics at the univ of Chicago" : design a& consttrution of remporary lab space et supervision nd'un small staff of enineers, echnicians and machinists in conceiving and building special instrumentation and installing and maintaining equipment for the vairous research groups of the institut. Un des instruments sur lesquels il travaille est un Geiger counter avec mica end-window (efficacité environ 10%) et cherche à l'améliorer et à construirer un wndowless counter. Un proto qui séuit les visiteurs du labo qui en veulent un aussi ! (vers 1948). En 49 : sa company en temps partiel. Reconception du windowless à des fins commerciales avec des variantes et d'autres produits (a fraction colletor peu spectaculaire). En 52 il est à plein temp ssur son entr et commence un Coincidence LSC qui est livré au Argonne Cancer Research Hospial en 53. Il a surtout cherché à avoir "versatility and easy operation à cause de son passé à l'univ. (jusqu'ici rien de spectaculaire en fait...) Rq : la mesure des radiatons : - début 1900 :scintillaton counting : on compte visuellement les éclats lumineux produits sur un écran de sulfide de zin (surtout en physique nucléaire) - 1920 : Geiger Müller counter : utiliser le pouvoir ionisant de la particule émise qui provoque décharge dans un champ électrique : utile pour les particules beta de haute énergie: plus diff pour gamma (seulement grâce au secondary electron émis à la traversée des parois du tube). Puis app avec mica end window qui permet mesure de 14C avec 10% efficacité et quasi imp mesure des beta du 3H trop faibles. - vers 1940, progrès en phtoelectricité permet renouvellement LSC : photo détecteur remplace l'oeil humain. - Geiger-like : coupler scintillation avec un photosensitive Geiger tube of a special design. Main pb : l'activité du photomultiplier lui-même qui génère des interférences ("dark current", ie emission spontanée thermionic). - 1951 : suggestion de Rabsen de dssoudre le matériau à compter dans le liquide" : très prometteur. Réduction des dark current par réfrigération par sélection des photomultipliers adéquats,... vers 1952-53 : devt de "coincidence-type measurement : deux photomultipliers et on ne mesure que les émissions arrivées en coincidence ie pas les dark currents. prot de ce principe de 52 à 57. Celui de Packard est de 53.

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Rheinberger, H.-J. (2001). Putting Isotopes to Work: Liquid Scintillation Counters, 1950–1970. In Instrumentation Between Science, State and Industry (pp. 143–174). Springer Netherlands. https://doi.org/10.1007/978-94-010-9032-2_8

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